Des lampes
qui ne se contentent pas d'éclairer...

Nos tableaux,
de découvertes en (re)découvertes

La Galerie du Pollet, là où le beau est visible. Et accessible.

On ne sait pas si l’art rend la vie plus belle, mais ici, il la rend plus intrigante. Depuis plus de deux ans, la Galerie du Pollet sème des images, restaure des lueurs et éveille quelques regards — d’abord en ligne, puis dans les marges du réel, à coups d’expositions éphémères et de hasards bien organisés. Elle dispose maintenant de ses propres pénates, au 19 rue Notre-Dame à Dieppe, et entre dans la lumière. Littéralement, car en plus des tableaux qu’on y regarde (ou qui vous regardent, c’est selon), elle y dévoile désormais une collection éclairée de lampes iconiques, issues du design des années 30 à nos jours. Pour les curieux éclectiques, les amateurs pointus, les collectionneurs discrets. Pour ceux qui cherchent un regard, une lumière, ou juste un moment suspendu.

Des tableaux qui racontent, même s’ils se taisent.

Ici, qu’importe l’étiquette — anciens, modernes, contemporains — pourvu qu’on ait l’ivresse des yeux. Des artistes reconnus y côtoient d’autres trop vite oubliés, et quelques anonymes brillants, passés sous les radars mais pas sous notre nez. Nous redonnons leur place aux œuvres déplacées. De celles que l’on peut encore croiser dans les musées sans plus les citer dans les dîners.

Des lampes qui ne se contentent pas d’éclairer.

Goffredo Reggiani, Louis Kalff, Man Ray, Motoko Ishii, Albert Tormos, Gilles Derain, Paul Kiss… Ces noms ne vous disent rien ? Que la lumière soit : chaque lampe est un concentré d’époque. De technologie. De style. Un alphabet lumineux. À la Galerie du Pollet, les lampes ne décorent pas, elles vous éclairent de ce qu’elles sont. Restaurées, chinées, rééditées avec soin, elles ont de l’esprit, un passé, et parfois même un interrupteur.

Le paradoxe comme ligne de mire.

Des œuvres uniques mais abordables. Des créations rares mais accessibles. Du vintage qui n’a pas pris une ride. Du beau pour le quotidien, mais jamais de banal. La Galerie du Pollet, c’est une certaine exigence sans snobisme. Un lieu où l’on peut tomber amoureux d’un tableau sans y laisser un bras, où une applique italienne des années 70 s’encanaille sur colombage normand.

Et toujours en ligne et sur les réseaux, pour les insomniaques esthètes.

Une question ?

Les œuvres proposées sont vendues en l'état. Leur nature de bien d'occasion implique l'acceptation par l'acheteur d'éventuelles marques d'usage, d'usure, de fragilité, d'ancienneté ou de restauration.

19 rue Notre-Dame
76200 Dieppe