
Lampe de bureau (non signée)
Entre Louis Kalff et MG Wheeler, le genre qui pourrait lire Le Monde en écoutant du jazz.
€460.00
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Ce qui nous a plu
Une lampe de bureau en métal noir, brut et doré, années 50/60 (probablement Europe du Nord ou influence américaine). Elle a deux rotules, mais zéro prétention. L’une à la base, l’autre au coude — juste ce qu’il faut pour ajuster la lumière sans transformer l’exercice en séance de yoga. Sa silhouette, haute de 56 cm, se dresse comme un perchoir d’ingénieur rêveur, tandis que sa base, épaisse, garde l’aplomb d’un métronome patient, d’où s’élance un fût articulé en métal doré. Le cache-ampoule, massif et sobre, est en métal noir mat, comme pour calmer les ardeurs de l’ensemble.
L’abat-jour (Ø 30 cm) est un disque double en acier entre brut et brossé, qui flotte au-dessus de la lumière grâce à de fines entretoises d’acier. Sur sa partie supérieure, quatre petits trous ronds — trois en triangle et un central — laissent échapper des éclats timides, comme une confidence lumineuse. Et tout autour, une fente circulaire diffuse un halo discret, l’air de rien.
Ce que l'on sait du designer
On ne le connaît pas. Mais on assiste à un mariage discret entre MG Wheeler (pour le chapeau lumineux suspendu et les percements subtils) et Louis Kalff (pour le corps élancé et ce sens de la ligne qui dit “je sais où je vais, mais j’y vais avec style »).
Pourquoi l'adopter
Parce qu’elle sait être fonctionnelle sans ressembler à un outil de dentiste.
Parce qu’elle éclaire autant qu’elle intrigue.
Parce qu’elle a un charme transatlantique : un pied en Europe, l’autre à New York, et l’ampoule au milieu
Ses caractéristiques
Métal noir, brut et doré
2 rotules
Diamètre base 18 cm, abat-jour 30 cm
Hauteur 56 cm