Suspension anonyme à trois bras

entre chic parisien et douceur scandinave

€150.00

Rupture de stock

ateliers parisiens, dans le gout d’Arlus/Lunel, circa 1958–65

Ø 64 cm, h 47 cm

laiton doré (bras, tige, pavillon), éléments noirs (moyeu et porte-douilles), verre opalin texturé (cylindres striés).

Métal doré et noir, verres opalins striés : Elle a l’élégance discrète des conversations feutrées et la structure claire d’un plan d’architecte.

Trois bras en laiton doré, arqués juste ce qu’il faut, convergent vers un moyeu noir décoré d’un disque doré que l’on aperçoit comme un soleil secret, visible depuis le dessous. Chaque bras tient un abat-jour cylindrique en verre opalin texturé — stries verticales régulières qui jouent avec la lumière comme un store vénitien poli par le temps.

Suspendue à sa tige dorée, coiffée d’un pavillon doré également, elle se tient à mi-chemin entre l’optimisme moderniste et la retenue nordique.

Elle éclaire comme on raconte une histoire : doucement, mais avec des détails qui accrochent l’attention.

 

Pourquoi on l’aime
• Parce qu’elle réussit à être à la fois géométrique et chaleureuse.
• Parce que ses verres diffusent une lumière qui semble filtrée par la mémoire.
• Parce qu’elle a cette politesse rare : occuper l’espace sans le monopoliser.