
Suspension en verre opalin, dans l’esprit de Pierre Disderot. France. Circa 1960.
Entre la goutte d’eau et la soucoupe volante, cette suspension hésite encore. Mais elle éclaire déjà.
€250.00
Rupture de stock
Certaines lampes ne voyagent pas. Trop fières pour la Poste, trop belles pour un carton. Cette suspension s’adopte en boutique, remise en mains propres.
Ce qui nous a plu
Avec ses courbes douces et son verre opalin soufflé, cette suspension rappelle les plus belles créations françaises du design des années 50-60 – et notamment les modèles signés Pierre Disderot, poète lumineux du luminaire moderniste.
Accrochée à un fil noir discret, elle flotte dans l’espace comme un fruit défendu de lumière, ou un fantôme design qui aurait troqué la terreur contre l’élégance. À la fois fluide et maîtrisée, sa forme resserrée vers le haut puis évasée en goutte douce apporte une présence sculpturale, sans jamais écraser visuellement la pièce. Parfaite en solo au-dessus d’un guéridon, ou en duo pour encadrer un comptoir de cuisine ou une console stylée, elle diffuse une lumière veloutée, presque laiteuse, qui transforme chaque soirée en épisode de Nouvelle Vague.
Pourquoi l'adopter ?
Parce qu’elle a la classe d’une lampe de Disderot… sans le prix de la signature.
Parce qu’elle ressemble à une goutte d’opaline qui aurait décidé de léviter.
Parce qu’elle donne l’impression qu’on habite un appartement de l'INA, archives comprises.
Parce qu’elle est douce, mais pas mièvre. Lisse, mais pas lisse. Vintage, mais pas passéiste.
Et parce qu’on n’a jamais trop de suspensions françaises dans sa vie (ou au plafond).
Ses caractéristiques
Période : circa 1960
Attribution : dans le goût de Pierre Disderot
Matériaux : verre opalin soufflé et plastique noir
Dimensions : hauteur globe d'environ 30 cm, diamètre du globe d'environ 30 cm
Éclairage : 1 ampoule à vis E27 (selon douille)
État : excellent état vintage, infimes micro-traces compatibles avec l’âge